Pour la visite de l’exposition « Cathares ». Toulouse dans la croisade, nous vous conseillons vivement de prendre votre billet en ligne afin d’éviter l’attente en caisse.

Le musée sera fermé au public le mercredi 1er mai. Il sera par contre ouvert le mercredi 8 et le jeudi 9 mai, aux horaires habituels.

Votre week-end des 27 et 28 avril au MSR !

Chaque semaine, l’équipe du musée vous propose des nombreuses activités, pour les petits ou pour les grands. Faites votre choix et ne tardez pas à réserver !

Exposition temporaire

Visuel de l'exposition "Cathares". Toulouse dans la croisade. Dessin d'un bouclier portant la croix raymondine se détachant sur des flammes.
Graphisme : Guillaume Lamarque/Direction des Musées et Monuments (Mairie de Toulouse).

« Cathares ». Toulouse dans la croisade

Cathares, croisade, châteaux, inquisition, bûchers… autant de termes et d’images qui sont associés à la croisade contre les Albigeois (1209-1229).

Cette exposition inédite, conçue par le Musée Saint-Raymond, présente les événements et rebondissements qui ont émaillé la croisade contre les Albigeois mais aussi la question de l’hérésie dite « cathare », autour des débats qui animent actuellement la communauté des historiens.

Ne manquez pas ce rendez-vous avec l’histoire de Toulouse et de l’Occitanie !

Avec des enfants âgés de 3 à 5 ans

Un médiateur culturel entouré d'enfants.
Photographie : Loussia Da Tos/Musée Saint-Raymond (Licence ouverte-Etalab).

Sur les traces d’une tortue

Les mythes gréco-romains à l’origine des constellations.
Les dieux et héros antiques peuplent encore le ciel ! Au cours de cette visite, découvrez les mythes qui se cachent derrière le nom des constellations.
À partir des sculptures du musée, plongez dans les récits mythologiques qui ont donné leurs noms, entre autre, à la Grande Ourse, aux Gémeaux ou encore aux Poissons.

Dim. 28 avril à 10h30.
Tarifs : 5 € / 3 € / 0 €.

Tout public à partir de 9 ans

Devant les travaux d'Hercule un groupe de personnes écoute un médiateur culturel.
Photographie : Lydia Mouysset/Musée Saint-Raymond (Licence ouverte-Etalab).

Super-héros !

Quel rapport peut bien avoir Hulk avec l’Antiquité ? venez découvrir comment les super-héros d’aujourd’hui ont été inventés à partir des héros antiques !
En observant les sculptures et mosaïques du musée et en visionnant des extraits de vidéos et de bande-dessinées, vous apprendrez les origines antiques de Wonder Woman et de plusieurs superpouvoirs ou encore la manière dont l’hydre a inspiré de nombreux monstres…

Dim. 28 avril à 15h.
Tarifs : 5 € / 3 € / 0 €.

Un troubadour.
Conception graphique : Opixido.

Trobador

Mettez-vous dans la peau d’un troubadour et vivez les grands évènements du XIIIe siècle !

Trobador vous propose de parcourir l’exposition « Cathares ». Toulouse dans la croisade de façon ludique et interactive en compagnie du troubadour Peire Cardenal. Votre objectif : écrire la chanson qui fera de vous un grand troubadour. Pour cela vous devrez ouvrir l’œil et participer à des jeux.  

Disponible en français, anglais, espagnol et occitan.
Durée indicative : 45 min pour chaque site. Vous pouvez débuter le jeu au Musée Saint-Raymond ou au Couvent des Jacobins. 

Sans réservation. Compris dans le droit d’entrée à l’exposition.

Un cavalier médiéval en arme charge.
Photographie : Catherine Lauthelin.

Visite guidée de l’exposition « Cathares ». Toulouse dans la croisade (site du Musée Saint-Raymond)

On vous présentera  les protagonistes de la croisade contre les Albigeois, les événements et rebondissements qui l’ont émaillée ainsi que la vie quotidienne des Toulousains pendant les affrontements.

Prolongez votre découverte en allant visiter la partie de l’exposition présentée au Couvent des Jacobins (vous y avez accès en présentant votre billet d’entrée) et en y suivant une visite guidée (voir ci-dessous).

Pour les visiteurs de moins de 18 ans, la présence d’au moins un adulte accompagnateur, muni d’un billet, est obligatoire.
Durée : 1h.
Tarif : 5 € en plus du billet d’entrée à l’exposition.
Dates et horaires : sam. 27/04 (11h.) et dim. 28/04 (11h.).

Avec les enfants

Composition de quatre photos présentant les mallettes de jeux
Photos : Lydia Mouysset/Musée Saint-Raymond (Licence ouverte-Etalab).

Des mallettes de jeux à emprunter

À chaque étage du musée, vous trouverez des mallettes que vous pouvez emprunter le temps de votre visite.

Les jeux qu’elles contiennent sont le gage d’une visite en famille réussie, y compris avec de très jeunes enfants. Jeux d’observation, mimes, marionnettes, devinettes… les activités sont très courtes et variées.

Pictogrammes en forme de chouettes, symbolisant les pistes sonores de l'audioguide pour enfant.

Écoutez la chouette !

À l’accueil, n’oubliez pas de prendre avec vous un audioguide gratuit !

Des pastilles sonores, spécialement conçues pour le jeune public, à partir de 6 ans, jalonnent le parcours permanent. Il suffit de repérer la chouette à proximité des objets et de taper le numéro correspondant sur le clavier de l’audioguide pour déclencher le commentaire.

Et pour les ados ou les adultes, le même audioguide fera l’affaire ! Mais cette fois-ci, c’est le pictogramme représentant une tête humaine portant des écouteurs qu’il faudra chercher.

Pour retrouver l’ensemble de notre programmation à venir, consultez notre agenda !

Pour les adultes

Un visiteur souriant, devant les reliefs des travaux d'Hercule, utilise l'audioguide.
Photo : Lydia Mouysset/Musée Saint-Raymond (Licence ouverte-Etalab)

Empruntez un audioguide gratuit pour visiter le parcours permanent !

Les audioguides, en français, sont disponibles gratuitement à l’accueil du musée et dans les salles.

Les pastilles sonores qui les composent vous permettront de découvrir nos collections sur un ton décalé.

Besoin d’être convaincu ? Allez, rien que pour vous la pastille sonore qui présente le Discobole !

Voilà un beau jeune homme qui fait encore mieux que la Vénus de Milo : non seulement il n’a plus de bras, mais il n’a plus de jambes et sa tête manque. Ce qui nous fait en tout cinq morceaux qui gisent peut-être encore quelque part au fond de l’Aude, près de Carcassonne, là où on l’a retrouvé au XVIIIe siècle. Au début, on n’a pas trop su ce que représentait cette statue : vu ce qu’il en reste, il pourrait aussi bien être en train de bêcher le jardin que de jouer aux dés, assis à une table. C’est d’ailleurs comme ça qu’on l’a longtemps présenté : assis. Et puis au début du XXe siècle, on a fait le rapprochement. Cette statue est tout simplement une copie d’une des œuvres les plus célèbres de l’Antiquité : le Discobole, un bronze sorti de l’imagination d’un des plus grands artistes grecs du Ve siècle avant notre ère, Myron, spécialisé entre autres dans la représentation d’athlètes en plein effort. Comme le sien, notre Discobole montre le sportif au tout dernier moment de son geste, juste avant qu’il lance son disque. Et l’œuvre de Myron était si belle, elle a tant marqué les artistes grecs et romains qu’on a continué de la copier pendant des siècles, en essayant encore et encore de retrouver la perfection de l’original. Celle-ci, qui est sortie des mains d’un artiste qui vivait au IIe siècle, 650 ou 700 ans après Myron, reste la seule copie retrouvée en Gaule. Ah oui, un dernier truc : le Discobole a tellement marqué la mémoire collective qu’on en trouve encore des traces aujourd’hui, même dans Astérix. Dans les Lauriers de César, Uderzo s’est amusé à dessiner un esclave un poil vaniteux qui prend exactement la même pose. Enfin pas longtemps, parce qu’il énerve tellement Astérix qu’il finit par se prendre une tarte.