À l’origine, des collectionneurs passionnés d’antiquités acquéraient de magnifiques pièces, soit pour enrichir leur propre collection, soit pour celle des musées, entrainant la dispersion de certains ensembles et toute information sur leur contexte de dépôt.

Avec l’essor de l’archéologie contemporaine, la recherche ne se limite plus à la beauté des artefacts : les scientifiques s’intéressent désormais autant au contexte de découverte qu’aux objets eux-mêmes. Rien n’est négligé, pas même les fragments brisés ou les pièces jugées « moches ».

Mais au milieu de tout cela, les pilleurs ont toujours sévi. En quoi le pillage nuit-il au travail des chercheurs et menace-t-il notre patrimoine ?
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Photo : Lydia Mouysset/Musée Saint-Raymond - Licence ouverte